Intermarché est l’une des enseignes majeures de la grande distribution en France, avec plus de 1 800 supermarchés et hypermarchés opérés par le groupement Les Mousquetaires. Que ce soit pour un poste en magasin (employé libre-service, hôte(sse) de caisse, manager de rayon…), en logistique (préparateur de commandes, magasinier…) ou au siège (fonctions support), de nombreuses personnes s’interrogent sur les conditions de travail chez Intermarché. Quels sont les salaires pratiqués selon les postes ? Quels avantages sociaux (primes, 13e mois, tickets restaurant, mutuelle…) sont offerts aux employés ? Quelle est l’ambiance de travail et quelles perspectives d’évolution peut-on espérer ? Dans cet article de blog complet et optimisé SEO, nous faisons le tour de la question avec des informations à jour, des données fiables et des témoignages récents d’employés. Vous y trouverez même un comparatif rapide avec d’autres enseignes (Carrefour, Leclerc) et un bon plan pour profiter des promotions Intermarché via 123Catalogue.fr.

Salaires chez Intermarché : combien gagne-t-on selon le poste ?

La question des salaires est souvent centrale lorsqu’on envisage de rejoindre une entreprise. Chez Intermarché, les rémunérations varient selon le poste occupé, mais pour de nombreux emplois en magasin, elles se situent aux alentours du SMIC (Salaire Minimum Interprofessionnel de Croissance) ou légèrement au-dessus. Voici un aperçu des salaires mensuels bruts moyens par type de poste d’après les données partagées par des employés :

Poste Salaire mensuel moyen (brut)
Hôte / Hôtesse de caisse ~1 727 € par mois
Employé Libre-Service / de rayon ~1 830 € par mois
Préparateur de commandes (Drive) ~1 846 € par mois
Boucher, Poissonnier (métier de bouche) ~2 000 – 2 150 € par mois
Chef de rayon / Manager de département ~2 080 € par mois
Responsable de caisse ~2 000 € par mois
Directeur de magasin (Supermarché) ~2 930 € par mois
Adjoint de magasin (Supermarché) ~3 535 € par mois (environ 42 400 € brut/an)

Remarque : ces chiffres sont des moyennes brutes mensuelles estimées, pouvant varier selon la localisation, l’expérience et la taille du point de vente. Ils proviennent de données partagées anonymement par des salariés sur Indeed et Glassdoor sur les 2-3 dernières années. Ainsi, un employé libre-service ou un caissier débute souvent autour de 1 700 à 1 800 € brut mensuels, soit à peine plus que le SMIC, alors qu’un chef de rayon tourne autour de 2 000 à 2 100 € brut. Un directeur de magasin d’un supermarché Intermarché (point de vente de taille moyenne) gagne en moyenne ~2 900 € brut par mois, mais ce chiffre peut fluctuer fortement selon le chiffre d’affaires du magasin (certains directeurs de grands Intermarchés hyper peuvent toucher davantage via primes sur objectifs).

En logistique, les salaires sont comparables aux postes en magasin de qualification équivalente. Par exemple, un préparateur de commandes Drive (préparant les courses pour le retrait Drive) déclare autour de 1 846 € brut mensuels, dans la même fourchette qu’un employé commercial. Au siège ou dans les filiales centrales (par exemple Intermarché Logistique Alimentaire International – ITM LAI), les rémunérations des fonctions support (informatique, marketing, ressources humaines…) peuvent être plus élevées, avec par exemple un gestionnaire de paie autour de 22 934 € brut annuels (env. 1 911 € brut/mois) et un adjoint de magasin jusqu’à 42 427 € brut annuels (env. 3 535 € brut/mois) en moyenne d’après Indeed. Les postes de cadre (category manager, directeur régional, etc.) sont quant à eux négociés individuellement et peuvent dépasser les 40–50 k€ annuels selon l’expérience.

Comparaison avec d’autres enseignes : globalement, Intermarché s’aligne sur le marché de la grande distribution alimentaire. Les salaires d’entrée (caissiers, employés de rayon) y sont similaires à ceux de concurrents comme Carrefour ou Leclerc. Par exemple, chez Carrefour, un caissier gagne en moyenne ~1 765 € brut par mois en France, ce qui correspond à la moyenne nationale pour ce poste – soit très proche des ~1 727 € brut chez Intermarché pour un poste équivalent. De même, chez E.Leclerc, le taux horaire moyen d’un hôte de caisse est d’environ 11,82 € (soit le SMIC horaire actuel), donc un temps plein atteint environ 1 800 € brut mensuels. Pour les postes plus qualifiés, les écarts entre enseignes sont en général modestes et dépendent surtout des conventions collectives locales : un chef de rayon ou manager de département chez Intermarché (2,0–2,1 k€ brut) gagne à peu près comme chez Carrefour (où un chef de rayon est vers 2,0 k€ brut) ou chez Leclerc. Conclusion : travailler chez Intermarché n’est pas forcément plus rémunérateur qu’ailleurs, mais pas moins non plus – l’entreprise paye « dans la moyenne » du secteur grande distrib’ à qualification égale.

Avantages sociaux et conditions de travail chez Intermarché

Au-delà du salaire, quels sont les avantages et la qualité de vie au travail chez Intermarché ? Il faut d’abord savoir qu’Intermarché est constitué de magasins indépendants : chaque point de vente est géré par un adhérent (franchisé du groupement Les Mousquetaires) et peut donc appliquer sa politique interne, dans le respect de la convention collective de la grande distribution. De ce fait, les avantages sociaux peuvent varier d’un magasin à l’autre. Néanmoins, on retrouve des tendances générales d’après les témoignages :

  • 13ᵉ mois : Plusieurs employés mentionnent l’existence d’une prime équivalente à un 13ᵉ mois de salaire. Dans certains Intermarchés, le 13ᵉ mois est versé automatiquement en fin d’année (souvent après un an d’ancienneté) ou proratisé. Par exemple, un employé Drive à Grenoble note que « au niveau prime il y a juste le 13ᵉ mois et rien d’autre ». Un chef de rayon dans le Sud mentionne également en avantages « 5% de remise sur les achats et le 13e mois ». Ce 13ᵉ mois semble donc fréquent, même s’il n’est pas systématique dans 100% des magasins (certains salariés signalent ne pas l’avoir lorsqu’ils étaient en CDD par exemple).

  • Tickets restaurant : Contrairement à de nombreuses entreprises, les tickets-resto ne sont généralement pas proposés chez Intermarché, surtout pour les personnels en supermarché. Plusieurs témoignages le confirment : « pas de ticket resto » revient régulièrement dans la bouche des employés. En effet, la plupart des Intermarchés disposent d’une petite salle de pause ou cafétéria en interne, et étant des commerces de bouche, ils n’offrent pas forcément de chèques déjeuner. Cela peut dépendre de l’adhérent, mais globalement “pas de ticket restaurant” est presque la norme d’après les avis.

  • Mutuelle d’entreprise et prévoyance : Conformément à la loi, Intermarché propose une mutuelle santé à ses employés. Ce n’est pas un avantage distinctif (puisque toute entreprise française doit le faire depuis 2016), mais c’est à noter. Les avis employés ne signalent rien de particulier à ce sujet, ce qui laisse penser que la mutuelle est standard. Une prévoyance (assurance complémentaire) peut exister via la convention collective. Au niveau retraite, le site Avantage-entreprise mentionne la possibilité d’une complémentaire retraite chez Les Mousquetaires, probablement surtout pour les cadres ou au siège.

  • Intéressement, participation et primes : C’est un point qui revient dans les critiques. Beaucoup d’employés soulignent l’absence de primes d’intéressement ou de participation aux bénéfices dans les magasins. « Pas de prime d’intéressement, de participation » indique un préparateur Drive. Un chef de rayon parle de « primes quasi inexistantes » et d’une rémunération “en dessous de la moyenne nationale” pour le poste. Il semble que seules les structures logistiques ou le siège bénéficient d’accords d’intéressement, mais dans les points de vente, ce n’est pas courant. En revanche, certains magasins peuvent verser des primes ponctuelles (prime d’ancienneté prévue par la convention collective, prime d’assiduité, etc.), mais ce n’est pas généralisé.

  • Remise employé sur les courses : Y a-t-il un avantage carte de fidélité employé ou réduction pour les employés faisant leurs courses dans leur magasin ? D’après les témoignages, ce n’est pas répandu. Un avis est sans équivoque : « aucun avantage : pas de carte fidélité employé ». Toutefois, un salarié évoque un « 5% sur les achats » accordé au personnel – cela dépend possiblement de la politique du patron du magasin. Ce 5% de remise employé semble exceptionnel et non une règle générale.

  • Comité d’entreprise / CSE : Dans les petits et moyens Intermarchés (moins de 50 salariés), il n’y a légalement pas de Comité Social et Économique offrant des chèques-cadeaux, réductions vacances, etc. Plusieurs employés regrettent « pas de CE, pas de chèque vacances » en avantages. Dans les plus gros points de vente ou entités logistiques où un CSE existe, quelques avantages socio-culturels peuvent s’ajouter (arbre de Noël, chèques vacances, etc.), mais ce n’est pas uniforme dans le réseau.

En ce qui concerne les conditions de travail, là aussi les retours sont contrastés. Travailler chez Intermarché comporte les mêmes contraintes que dans la grande distribution en général :

  • Horaires décalés et travail le week-end : Les magasins ouvrent du lundi au samedi (et parfois le dimanche matin). Les employés doivent donc accepter de travailler le samedi, avec un roulement parfois le dimanche pour ceux qui font l’ouverture dominicale. Les horaires peuvent commencer tôt (5h-6h du matin pour les boulangers, les employés de mise en rayon ou en logistique qui préparent le Drive tôt) et finir tard (19h-20h pour les caissières en fermeture). Un chef de rayon résume : « horaires décalés, travail le week-end et jours fériés, 45h/semaine pour un contrat 35h » – bien sûr, légalement le contrat reste 35h, mais cela sous-entend des heures supplémentaires fréquentes.

  • Heures supplémentaires : Plusieurs témoignages dénoncent des heures sup non payées ou récupérées difficilement. Une hôtesse de caisse témoigne n’avoir « jamais pu finir à l’heure et les heures supplémentaires n’étaient d’ailleurs pas payées » dans son magasin. Ce problème semble dépendre des pratiques de l’adhérent : dans certains Intermarchés bien organisés, les heures sup sont payées ou récupérées correctement, mais dans d’autres, le sous-effectif chronique conduit à des débordements horaires non compensés. Cela peut expliquer un certain turn-over du personnel.

  • Ambiance de travail : L’ambiance varie énormément d’un magasin à l’autre. Comme le dit un employé, « Magasin indépendant donc l’ambiance et le travail dépendent du patron et des responsables. Expérience agréable, pression mais entraide avec les collègues ». Dans les points positifs, de nombreux salariés évoquent une bonne ambiance avec les collègues, un esprit d’équipe et de l’entraide. « Bonne ambiance ! Super lieu de travail », affirme par exemple un employé Drive dans les Vosges. Une hôtesse de caisse dans le Nord mentionne « une entente très agréable avec la clientèle et les collègues » et une pause déjeuner conviviale. Au contraire, d’autres font état d’une mauvaise ambiance due à la pression : « mauvaise ambiance, je ne conseille pas » dit un employé de rayon frais. Conclusion : l’ambiance chez Intermarché est très liée au management local. Un bon directeur ou chef de rayon saura motiver son équipe et installer une atmosphère familiale (ce qui est souvent cité comme un atout chez Intermarché), tandis qu’un encadrement maladroit entraînera stress et tensions. N’hésitez pas à vous renseigner sur le magasin (via des avis ou en discutant avec des employés) car deux Intermarchés peuvent être aux antipodes sur ce plan.

  • Pression et rythme de travail : Les métiers en supermarché sont physiques et demandent de la rapidité. Les employés soulignent être polyvalents : on peut vous demander de passer d’un rayon à la caisse, de gérer plusieurs tâches en même temps. « Tout le monde peut être polyvalent, mais on se fait taper sur les doigts parce qu’on effectue un réassort + service de livraison + gérer les appels caissières + ... » raconte un vendeur fruits & légumes sur un ton amer. Le sous-effectif est un problème récurrent mentionné, ce qui alourdit la charge de travail. Il faut donc s’attendre à des journées bien remplies, et faire preuve de résistance au stress lors des pics d’activité (surtout les samedis et veilles de fêtes, où l’affluence est forte).

  • Évolution de carrière : La perspective d’évolution chez Intermarché dépend beaucoup de la structure du magasin. Dans un petit point de vente, les postes supérieurs sont peu nombreux (un chef caisses, quelques chefs de rayon, un directeur) et occupés par des personnes en place depuis longtemps. Il peut donc être difficile de gravir les échelons en interne. Un ancien employé note « pas d’évolution de carrière » dans son supermarché. Cependant, certains réussissent à évoluer : un employé motivé peut passer chef de rayon si une opportunité se présente, ou adjoint rayon puis responsable. Le groupement Les Mousquetaires dispose d’organismes de formation (ex: Fordis) pour former des chefs de rayon ou directeurs, mais cela reste sur initiative personnelle ou de l’adhérent. Dans l’ensemble, Intermarché n’est pas réputé pour une promotion interne facile : beaucoup de salariés finissent par changer d’enseigne ou d’entreprise pour progresser (ou deviennent eux-mêmes adhérents en rachetant un magasin, pour les plus ambitieux). À noter que dans les bases logistiques ou au siège, les parcours sont plus structurés et l’évolution peut être plus ouverte (postes de chefs d’équipe logistique, responsables de service, etc. sont accessibles en interne).

En résumé, travailler chez Intermarché offre des avantages classiques (13ᵉ mois, mutuelle) et une ambiance de travail qui peut être très conviviale selon l’équipe, mais il ne faut pas s’attendre à une multitude d’avantages matériels. C’est un environnement exigeant physiquement et humainement – comme dans toute la grande distribution – avec ses hauts et ses bas selon le magasin sur lequel vous tomberez.

Témoignages récents d’employés Intermarché

Rien de tel que la voix des employés pour se faire une idée concrète. Nous avons compilé quelques témoignages récents (2023-2025) provenant de sites d’avis (Indeed, Glassdoor…) reflétant la diversité des expériences chez Intermarché :

  • « Bonne ambiance ! Super lieu de travail. Beaucoup d’avantages et de primes. Horaires 6h-14h ou 13h-19h… » – (Driver préparateur de commandes, Vosges, avis de mars 2025). Avis : Ce salarié Drive met en avant l’ambiance agréable et affirme bénéficier de “beaucoup” d’avantages/primes. Il décrit des horaires en 2 équipes (matin ou après-midi) assez classiques en logistique. Ce témoignage positif laisse penser que dans certains Intermarchés (notamment dans les Drives intégrés aux magasins), l’organisation du travail est bien gérée et le personnel satisfait.

  • « Au niveau prime il y a juste le 13ᵉ mois et rien d’autre (pour un employé), pas de prime d’intéressement, de participation, pas de ticket resto. Vous n’avez rien à y gagner, à fuir. » – (Employé Drive, Isère, juin 2023). Avis : À l’inverse, ce témoignage d’un préparateur Drive à Seyssins est très négatif. L’employé déplore le manque d’avantages (aucune prime excepté le 13ᵉ mois, ni tickets restaurant) et la charge de travail sur 6 jours sans repos en semaine. Il conseille purement et simplement de “fuir” cette entreprise. Ce genre d’avis reflète sans doute des conditions de travail difficiles dans certains magasins où le personnel Drive est en sous-effectif.

  • « Bref il n’y a aucun avantage : pas de carte fidélité employé, pas de ticket restaurant, etc. » – (Hôtesse de caisse, Vienne, avril 2025). Avis : Cette hôtesse de caisse, très déçue, raconte une expérience de 1 mois et demi dans un magasin en travaux, avec du bruit, du stress, des heures supp non payées et finalement une rupture de sa période d’essai. Elle conclut sur l’absence totale d’avantages salariés et une direction qu’elle juge méprisante. C’est un témoignage dur, soulignant qu’il existe des contextes où travailler chez Intermarché peut s’avérer pénible (magasin mal géré ou en rénovation dans ce cas).

  • « Bonne expérience, autonomie… Salaire trop bas et travail 6j/7. Bonne ambiance de travail avec l’équipe. Pour bien se former au métier de la grande distribution, c’est un bon tremplin. » – (Responsable de rayon, Rhône, avis sur Indeed). Avis : Ici, un responsable de rayon trouve du positif dans son expérience : liberté d’organisation, bonne ambiance et une expérience formatrice (“un bon tremplin” pour apprendre le métier). En revanche, il pointe le salaire trop bas et la charge de travail (6 jours sur 7). Ce témoignage nuance les choses : Intermarché peut être une “école” pour les jeunes qui débutent dans la grande distrib, afin d’acquérir de l’expérience, mais les contreparties en salaire/temps de travail ne sont pas idéales sur le long terme.

  • « Horaires décalés... salaire en dessous de la moyenne nationale à poste équivalent, primes quasi inexistantes, aucune évolution interne, management ingrat, etc... Points positifs : 5% sur les achats, 13e mois; Points négatifs : dévalorisation du personnel. » – (Chef de rayon alimentaire, Hérault, 2014). Avis : Ce témoignage date un peu mais reste parlant. Il dresse la liste des inconvénients ressentis par ce chef de rayon : amplitude horaire, salaire faible comparé à d’autres enseignes, peu de primes, pas de perspective d’évolution, et un manque de reconnaissance du personnel. Les points positifs qu’il accorde sont uniquement le 13ᵉ mois et une remise 5% employé. Cette phrase « tous les inconvénients de la grande distribution sans les avantages » résume son ressenti et revient parfois dans la bouche d’employés déçus. On comprend qu’Intermarché, pour certains, ne se démarque pas suffisamment en bien par rapport à d’autres employeurs.

En parcourant ces témoignages, on voit que les avis employés sur Intermarché sont mitigés. Il y a des équipes où règne une bonne entente, avec des managers humains, et où les salariés trouvent leur compte (ambiance, autonomie, expérience acquise). Et puis il y a des contextes moins reluisants : magasins en sous-effectif où la pression est forte, où le salaire et les avantages semblent ingrats par rapport au travail fourni. Il est donc conseillé de se renseigner magasin par magasin. N’hésitez pas à consulter des sites comme Indeed, Glassdoor ou même à discuter avec des employés en place pour connaître l’atmosphère et les pratiques de l’Intermarché qui vous intéresse. Chaque Intermarché a sa “couleur” managériale, l’enseigne étant décentralisée.

Économiser avec Intermarché : promotions et bons plans 123Catalogue.fr

Que vous envisagiez de travailler chez Intermarché ou que vous en soyez client, il est bon de rappeler que l’enseigne met en avant son slogan « Tous unis contre la vie chère ». En tant qu’employé, vous connaîtrez bien les promotions et opérations commerciales de votre magasin. Pour en profiter au maximum en tant que consommateur, sachez que le site 123Catalogue.fr répertorie toutes les offres et catalogues d’Intermarché. Par exemple, vous pouvez y consulter le catalogue Intermarché de la semaine et ne rater aucune réduction. C’est un bon moyen de faire des économies sur vos courses : produits à -50%, 1 acheté = 1 offert, avantages carte fidélité, etc., tout y est listé. En lien avec cet article, on peut dire que travailler chez Intermarché donne aussi la maîtrise de ces bons plans – et pourquoi pas aider vos proches à en bénéficier. N’hésitez pas à jeter un œil sur 123Catalogue.fr pour être au courant des meilleures promos Intermarché du moment et optimiser votre pouvoir d’achat. C’est un petit aparté “bon plan conso” qui complète le tableau : Intermarché s’efforce d’attirer les clients par des prix bas et promos, ce qui fait aussi partie de l’univers de travail de ses employés (mise en rayon des produits en promo, gestion du stock pendant ces opérations, afflux de clients sur les offres, etc.).

En résumé : faut-il travailler chez Intermarché ?

Travailler chez Intermarché peut être une expérience enrichissante pour qui aime le contact client, le travail d’équipe et le domaine de la distribution. L’enseigne offre une première expérience solide dans le commerce de détail, avec la possibilité de toucher à tout (caisse, rayon, stock, drive) et d’apprendre le métier. Les salaires y sont corrects bien que souvent modestes au départ (autour du SMIC pour beaucoup de postes), mais peuvent évoluer avec le temps ou en accédant à des postes à responsabilités. Les avantages internes restent limités comparé à certains grands groupes : on retrouve le 13ᵉ mois dans de nombreux magasins et la mutuelle standard, mais peu de primes et pas de tickets resto ni d’avantages employés marquants dans la plupart des cas. L’ambiance de travail dépend grandement de chaque magasin – elle peut être conviviale et familiale dans un point de vente à taille humaine bien géré, ou au contraire tendue si l’organisation laisse à désirer. On note aussi que les conditions de travail sont celles de la grande distribution : il faut être prêt à travailler le samedi, à encaisser des périodes de forte affluence et à faire preuve de polyvalence.

En clair, pourquoi travailler chez Intermarché ? Si vous recherchez un emploi stable dans votre région (l’enseigne est très implantée localement), avec la fierté de contribuer à une enseigne française connue pour ses combats pour le pouvoir d’achat, Intermarché peut être un bon choix. C’est aussi une entreprise qui valorise l’autonomie de ses responsables de magasin – ce qui peut inspirer ceux qui rêvent un jour de gérer leur propre point de vente. Toutefois, gardez à l’esprit que la qualité de vie au travail y est variable : informez-vous sur le magasin visé, et ne vous attendez pas à des salaires ou avantages mirifiques dès le départ. Comme l’expriment certains employés, Intermarché est souvent un tremplin pour acquérir de l’expérience dans le commerce. À vous de voir si ce tremplin correspond à vos attentes et à vos objectifs de carrière. En tout cas, armé des informations sur les salaires, avantages et témoignages que nous avons compilées, vous pouvez désormais prendre une décision éclairée. Et si vous franchissez le pas, vous saurez à quoi vous attendre en rejoignant les Mousquetaires d’Intermarché ! Bonne chance dans votre parcours professionnel.